Je voulais vous rassurer, quelques personnes ayant communiqué avec moi en s’inquiétant de l’avenir du Carnet des simplicitaires.
Celui-ci est là pour durer, j’en suis convaincu, quelles que soient mes interrogations sur l’ordinateur, Internet, les nouvelles technologies de l’information et mes propres rapports avec eux.
D’abord parce que ce Carnet n’est pas le mien (même si la proportion considérable de mes contributions peut laisser croire le contraire) : ce Carnet a été mis en ligne à l’instigation du Réseau québécois pour la simplicité volontaire (RQSV), est modéré par Christiane Dumont (qui était jusqu’à récemment membre du Conseil d’administration du RQSV) et il se voudrait idéalement celui de l’ensemble des simplicitaires intéressés à faire avancer la réflexion sur la simplicité volontaire et la pratique de celle-ci.
D’ailleurs, à quelques reprises déjà, surtout au début du Carnet, nous avons fait appel à la participation large et diversifiée des simplicitaires (pour toutes sortes de contributions pouvant aller… jusqu’aux recettes de cuisine), mais sans guère de succès jusqu’ici. Mais l’appel à la participation demeure toujours valide : n’hésitez pas à communiquer ou à envoyer vos contributions à Christiane par le biais du bouton Contact que vous trouvez en haut du texte.
De plus, le RQSV est en pleine re-fondation. Comme vous le savez, lors de la dernière assemblée générale annuelle, le 6 mai dernier, les participantEs ont unanimement convenu que si le RQSV n’existait pas, il faudrait le fonder. Et que sur la base de cette conviction, nous voulions relancer le Réseau avec une nouvelle vitalité en fonction des besoins actuels… et des énergies concrètes disponibles (en temps, en argent, en bénévoles, etc.). Une rencontre d’une journée complète est d’ailleurs prévue, à ce sujet, le 27 août prochain.
Dans ce contexte, une réflexion commence à peine à se faire sur les rôles, les possibilités et les avantages respectifs du Carnet des simplicitaires et du Bulletin Simpli-Cité qui a été, depuis plus de dix ans, publié sur support papier et mis en ligne sur Internet, jusqu’à quatre fois par année. Quel sera l’avenir (à moyen terme, puisqu’à court terme le prochain numéro du Simpli-Cité portera justement sur… les nouvelles technologies de l’information et de la communication) du bulletin par rapport au Carnet? Chose sûre, celui-ci continuera d’exister et, probablement, de s’enrichir de contributions plus nombreuses et diversifiées.
Alors pas de crainte : je serai de retour vendredi prochain!