La vie est souvent faite de surprises. Et c’est encore mieux quand elles sont bonnes!
En préparant la mise en ligne d’un texte envoyé par un collaborateur régulier, je viens de réaliser qu’il y avait 6 commentaires en attente d’approbation (sans doute un problème technique de communication, à moins que je n’aie reçu les avis de commentaires en attente à une période où j’étais débordé et que j’aie pensé les avoir approuvés alors que je ne l’avais pas fait: peu importe).
Je m’empresse donc d’aller les lire: 5 des 6 concernaient mon texte synthèse sur la simplicité volontaire du 20 février dernier: Vivre simplement dans une société d’abondance. Quel encouragement! Dommage que les internautes n’aient pas vu leurs commentaires mis en ligne plus rapidement!
Et le sixième, envoyé peu avant en février, commentait un texte datant du… 8 novembre 2012. En fait, il commentait le seul commentaire laissé à l’époque sur ce texte (Becoming Minimalist) d’il y a plus de trois ans! Preuve que la vie d’un blogue a sa propre dynamique et sa propre chronologie. Et qu’on lit non seulement les textes, mais aussi les commentaires. Et qu’il vaut donc la peine d’écrire des commentaires (en espérant que le responsable du Carnet ne mette pas trop de temps à les approuver :-)!
Mais en approuvant ces commentaires oubliés, je suis tombé sur un commentaire encore plus récent (19 avril 2016) qui, lui, avait bien été mis en ligne et auquel j’avais même répondu le jour même. Ce commentaire d’Helena Berthelot portait sur le texte Six mois plus tard: votre vote! publié dans le Carnet le 27 août 2010. Comme aucun habitué du Carnet ne relit sans doute ces vieux textes, vous n’avez (presque) aucune chance de tomber sur ces deux textes récents qu’on trouve au bas d’un texte d’il y a six ans. Je me permets donc de vous suggérer d’aller lire le commentaire de madame Berthelot et ma réponse: on y trouve un exemple encore plus extraordinaire de cette vie tout à fait atypique des blogues (en tous cas, du Carnet des simplicitaires). De quoi oublier les doutes et les fatigues et recharger les batteries du plus épuisé des carnetiers!
Manifestement, la simplicité volontaire répond toujours à un besoin important. Et la présence du RQSV sur Internet, malgré ses limites (on n’en fait jamais autant qu’on aimerait ou qu’il serait souhaitable d’en faire), a toujours son utilité… plus que jamais! (comme dirait Serge Mongeau)